Tendances

Qui détermine qu’un bijou est unisexe ?

Pendant longtemps, les bijoux étaient rangés dans des cases.
On choisissait un bijou parce qu’il était « pour femme » ou « pour homme ».
La ligne était nette, presque imposée. Des formes différentes, des matériaux distincts, des usages codés.

Mais aujourd’hui, ce cadre s’ouvre.
Et ce n’est pas juste une tendance, c’est une évolution naturelle des mentalités.
De plus en plus de personnes choisissent un bijou selon ce qu’il représente, pas selon ce que l’étiquette lui assigne. Ce que nous voulons porter, c’est une intention, une émotion, une histoire,
Pas un genre.

Ce n’est pas le bijou qui vous définit, c’est ce que vous en faites.

Chez Croix de Genève, on le voit au quotidien.

Ce n’était pas notre intention et encore moins notre stratégie. Nous pensions que nos bracelets seraient certainement appréciés majoritairement par des femmes et désirés par quelques hommes. La réalité est très différente :
Pas de genre prédominant, ni de catégorie liée au métal, au sertissage et encore moins à la couleur.

Madame souhaite commander un bracelet en argent sobres sur un tressage noir alors que Monsieur à un gros coup de cœur pour une version en or rose légèrement sertie sur un tressage bleu pâle.

Et dans presque tous les cas, ce qui guide le choix, ce n’est pas le style…
C’est le sens, ce que ce bracelet évoque, ce qu’il raconte, ce qu’il va symboliser pour eux ou pour quelqu’un d’autre.

Une vraie tendance ? Oui. Mais surtout un état d’esprit.

On parle beaucoup de “bijoux unisexes” dans les tendances du moment.
Mais pour nous, c’est bien plus qu’un courant esthétique.
C’est une façon plus libre, plus authentique, d’envisager le bijou.
Nos pièces ne sont pas créées « pour une cible » en particulier.
Elles sont créées avec attention, avec sincérité, et elles trouvent leur place naturellement.

Nous ne concevons pas de collections genrées et observons avec plaisir une répartition presque parfaite entre les pièces portées par des femmes (52,4%) et celles portées par des hommes (47,6%).
Et c’est ce qui nous réjouit le plus.
Parce que cela signifie que nos pièces parlent à l’humain simplement.

Et demain ?

Ce mouvement vers des bijoux plus libres, plus personnels, plus porteurs de sens existait déjà dans la fantaisie. Celui que l’on achète sur un coup de cœur, un coup de tête ou un coup de foudre.

Mais cela n’a jamais été observé dans le haut de gamme.
Nous ouvrons une voie vers le vrai luxe d’aujourd’hui :

Pouvoir porter un bijou qui vous ressemble, librement.

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